Depuis plusieurs semaines, Pierre Claver Maganga Moussavou l’actuel président du Parti Social-Démocrate (PSD) est l’objet de plusieurs attaques parfois des plus infamantes. Que cache cette cabale ?

C’étaient des audios de près d’une demi-heure. L’auteur ? M. Wilfried Okoumba, la cinquantaine, installé en France après avoir quitté le Gabon dans des circonstances qu’il faudra bien éclairer, accusait Pierre Claver Maganga Moussavou de tous les maux, et même de crimes abominables.

Accusations fallacieuses

Parmi ces accusations particulièrement fallacieuses, M. Wilfried Okoumba accusait Pierre Claver Maganga Moussavou d’être l’auteur de la mort de l’ancien Premier ministre Emmanuel Isozet Ngondet pourtant décédé du Covid 19 le 11 juin 2020 à Libreville.

Avec un aplomb certain, le même homme accusait (sans preuves bien entendu !) le même Pierre Claver Maganga Moussavou d’avoir voulu à lui tout seul faire un coup d’Etat dans lequel il aurait prévu d’éliminer (tout seul toujours) plusieurs haut cadres civils et militaires dont l’ancien commandant en Chef de la garde républicaine.

Le même homme avait accusé Pierre Claver Maganga Moussavou d’être allé dans un hôtel le 6 aout 2023 avec une dame alors que cela est faux (preuves à l’appui) et que la dame est…la petite sœur de M. Pierre Maganga Moussavou !

« Maganga ne te présente pas en 2025 »

Depuis, sur la toile une autre personne a pris le relais et demande à l’ancien maire de Mouila de ne pas se présenter au motif... qu’il aurait déjà son candidat en 2025 !

« Maganga ne te présente pas en 2025 » a demandé « l’influenceur » sous prétexte que l’ancien maire de Mouila devrait aller…à la retraite ! Si dans cette vidéo où il hésite entre admiration du parcours académique, professionnel et politique et volonté d’écarter Pierre Claver Maganga Moussavou pour ne pas gêner son « candidat » qu’il a déjà choisi, mais qu’il se garde bien de nommer…

Des attaques qui interrogent

Ce n’est pas la première cabale orchestrée contre Pierre Claver Maganga Moussavou. On se souvient de la fameuse « affaire du Kevazingo » dont on n’a jamais su le fin mot ; cette affaire un journaliste qui avait traité Pierre Claver Maganga Moussavou de « chef de gang » avait fini par reconnaître que des documents lui avaient été remis à la présidence de la République et qu’il n’avait fait qu’en publier le contenu sans trop se poser de questions…

Cette volonté manifeste de voir Pierre Claver Maganga Moussavou arrêter la politique interroge. La proximité des auteurs d’hier et d’aujourd’hui avec certains tenants des pouvoirs qui se sont succédé interroge aussi.

Qui ne veut pas voir Pierre Claver Maganga Moussavou continuer à faire de la politique ?

S’il est un homme du passé, pourquoi refuser à Pierre Claver Maganga Moussavou – citoyen Gabonais - le droit de solliciter autant qu’il le souhaite les suffrages de ses compatriotes ? Qui ne veut pas voir Pierre Claver Maganga Moussavou candidat à la prochaine élection présidentielle et surtout pourquoi ? Peut-être parce que face à la situation actuelle, il faudra un homme d’expérience, de conviction, de devoir disposant d’une offre politique réfléchie au service de tous les Gabonais où qu’ils soient et quels qu’ils soient et c’est le cas de Pierre Claver Maganga Moussavou.

Pierre Claver Maganga Moussavou est libre de continuer à faire de la politique et de se présenter à la prochaine élection présidentielle au Gabon que l’on promet (et souhaite surtout) enfin libre et transparente.

Les électeurs Gabonais seuls doivent en être juges.